De retour à mon appartement parisien après 10 jours d'évasion dans le sud, et déjà le sentiment d'un accroissement de l'intensité des acouphènes suraiguës apparues progressivement depuis 2 ans ...
Nous sommes (in extremis ...) à l'ordre du jour de la réunion de concertation mairie-opérateurs du 10 janvier. La raison principale : une nouvelle constatation de dépassements du champ au niveau du 3ème étage du 30 rue Pixérécourt, le 28 décembre. Dépassements par rapport à la charte parisienne, bien sûr ...
La limite supérieure admise dans cette charte (qui n'est pas de 2 V/m mais de 4,6 et 6,5 V/m pour 900 et 1800 Mhz respectivement) place comme par hasard 99 % des Parisiens en dessous. Il n'est légitime de s'en prévaloir que si des mesures fermes et suivies d'effets sont prises pour venir en aide aux 1% restants !
Il faut savoir que dans les appartements les plus exposés (à 45 mètres de l'antenne), le rayonnement reçu sur l'ensemble du corps équivaut à celui de plusieurs téléphones portables en communication, et cela pendant plus de 6 heures par jour !!!
Cette valeur est à rapprocher de la déclaration de Mme Michèle Froment-Védrine, de l'AFSSE, qui déclarait dans un extrait d'interview au JT de France 2 le 3 janvier à propos du portable :
" ... il faut l'éloigner, donc utiliser un kit mains-libres en éloignant le téléphone de la tête"
" ... utiliser l'appareil un nombre d'heures limité"
On y voit notre site, et une riveraine y est également interviewée.
Voici le lien vers la page de F2 : http://jt.france2.fr/20h/index-fr.php?jt=3&start=1496#
(chercher l'archive du 3 janvier si c'est la page du jour qui s'ouvre)
Si une mise en demeure d'enlèvement des antennes n'est pas décidée le 10, il faudra se mobiliser pour d'autres actions.
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